Charles n’apparait que très peu dans l’histoire, il est une sorte de relais, de cheville permettant à la narration de se poursuivre ; mais en même temps il suggère des pistes de lectures différentes par ses étranges allusions. C'est un de ces hommes de l’ombre, une éminence grise qui a su se rendre indispensable à plus d’une personnalité importante; il jouit ainsi d’une inquiétude bien méritée.
Son ventre proéminent, sa bouille ronde (au port et aux traits royaux), sa posture, tout indique un « bonhomme », un être qui sait profiter de la vie, presque bohême. Il y a de ça, mais cette jovialité dissimule un esprit retord.
En ne permettant pas à cet aspect malsain de surgir physiquement, Massiré met en valeur tout l’aspect lisse et bienveillant de Charles. Juste de quoi ne rien soupçonner.
Salut La Case!
RépondreSupprimerC'est moi ou la tete est proportionee un peu petite?
A+
Laurent
C'est la bedaine qui est grosse !
RépondreSupprimer:)