Sur les esquisses ci-dessous, on retrouve un Amédée « bien mis », tiré à quatre épingles; on l’imagine passant des heures à s’apprêter, scrutant un possible faux pli dans sa mise ou attentif au moindre poil de son menton presque imberbe dans l'espoir de se forger un « collier de maturité » .
Par rapport au portrait du personnage assis de la dernière fois, Massiré nous le montre ici plus « biaiseux », avec son regard en coin ou sa bouche un peu pincée. Il délimite ici la posture d’homme du monde tout en apparence et en superficialité du personnage, mais également l’ambition (sotte et) sans limite du jeune homme.
Contrairement à sa mère prenant appui sur son bureau, la main à peine posée du fils sur la commode - dessin de droite - sonne comme une peur de perdre l’équilibre, comme un geste mal assuré, imparfait, gauche. Quelque chose comme une pose pour un tableau d'antan, donnant au personnage un aspect factice et fat admirable.
Par rapport au portrait du personnage assis de la dernière fois, Massiré nous le montre ici plus « biaiseux », avec son regard en coin ou sa bouche un peu pincée. Il délimite ici la posture d’homme du monde tout en apparence et en superficialité du personnage, mais également l’ambition (sotte et) sans limite du jeune homme.
Contrairement à sa mère prenant appui sur son bureau, la main à peine posée du fils sur la commode - dessin de droite - sonne comme une peur de perdre l’équilibre, comme un geste mal assuré, imparfait, gauche. Quelque chose comme une pose pour un tableau d'antan, donnant au personnage un aspect factice et fat admirable.
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