Il y a plus de deux ans, on avait relayé l'interview de Benoît Peeters qui alertait, en tant que président des États Généraux de la Bande Dessinée, sur la précarité des auteurs de BDs.
Cette fois, c'est Denis Bajram, entre autre auteur de UW1 mais surtout secrétaire et coordinateur de la même association, qui monte au créneau au détour d'un post sur son blog que nous vous invitons à lire ici.
Il y apparaît clairement qu'à l’heure où le marché de la bande-dessinée (et pas uniquement celui-ci) semble saturé, qu'à l’heure où il a du mal à trouver un second souffle face à la concurrence et aux changements paradigmatiques des modes de consommations des lecteurs, l’état des lieux voulu, conçu, promu par les auteurs n’a, semble-t-il, pas réussi à trouver d’oreille attentive auprès des éditeurs et des diffuseurs.
Pour vous en persuader, pensez en particulier à jeter un œil sur les notes en bas de page du post de Denis Barjam : elles en disent long sur l'ambiance du moment...
Il y apparaît clairement qu'à l’heure où le marché de la bande-dessinée (et pas uniquement celui-ci) semble saturé, qu'à l’heure où il a du mal à trouver un second souffle face à la concurrence et aux changements paradigmatiques des modes de consommations des lecteurs, l’état des lieux voulu, conçu, promu par les auteurs n’a, semble-t-il, pas réussi à trouver d’oreille attentive auprès des éditeurs et des diffuseurs.
Pour vous en persuader, pensez en particulier à jeter un œil sur les notes en bas de page du post de Denis Barjam : elles en disent long sur l'ambiance du moment...
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